Jean-Bernard Estrade
Impliqué dans une association sur le handicap, militant Nouvelle Donne, je suis également conseiller municipal en Corrèze. La justice sociale, la justice fiscale, l’ouverture raisonnée des frontières, le respect des peuples, l’amélioration de la qualité de vie et le respect de notre milieu, le pouvoir donné aux parlementaires doivent redonner à l’idée européenne son élan et l’acceptation par les différentes nationalités.
- Actuellement conseiller municipal de la ville de Naves en Corrèze, j’ai été adjoint aux finances, chargé aussi des associations, dans la précédente mandature, de gauche, de 2008 à 2014.
- Je suis impliqué dans l’associatif : administrateur et référent d’établissements dans une association portée sur le handicap en Corrèze, DDEN (délégué départemental de l’Éducation Nationale) ; bénévole actif dans une association organisant une foire du Livre reconnue en Corrèze, bénévole dans mon club de rugby (ancien joueur), bénévole au sein de la Cité de l’Accordéon de Tulle (organisatrice du Festival fin juin « Les Nuits de Nacres »).
J’ai toujours cru à l’EUROPE, et j’y crois encore. Si pouvoir m’en était donné, je ferais en sorte que le Royaume-Uni nous rejoigne, fort d’un regret d’un référendum erratique !
Je me rappelle mes échanges dès le lycée avec l’Allemagne et l’Angleterre, puis plus tard les Pays Bas, la Belgique ou la Roumanie. Ces échanges, qui sont allés jusqu’à travailler un bon moment en Allemagne, m’ont permis de voir que les cultures étaient tout à fait conciliables.
C’est pour ça que je crois en l’Europe, et que je veux militer pour un renforcement de son pouvoir, à travers ses élus, et plus à travers une Commission dont je considère que c’est elle en grande partie qui a provoqué le rejet, même si les « populismes » ont su utiliser les mécontentements des fois justifiés des décisions de la Commission Européenne.
La justice sociale, la justice fiscale, l’ouverture raisonnée des frontières, le respect des peuples, l’amélioration de la qualité de vie et le respect de notre milieu, le pouvoir donné aux parlementaires doivent redonner à l’idée européenne son élan et l’acceptation par les différentes nationalités.
Le libéralisme l’emporte ! Inutile de vouloir l’anéantir ; quand on est emporté par le courant, inutile de lutter au risque de se noyer : il vaut mieux utiliser la vague et se laisser porter jusqu’au moment propice ou on pourra utiliser un courant favorable ! Ce sera un des moyens de faire avancer dans tous pays l’idée du progrès pour et par l’Europe. De grandes choses ont pu être faites, je crois que d’autres grandes choses peuvent se faire, sans heurter les sensibilités nationales.