Le monde vit une vraie révolution : les machines, les logiciels, les robots, les algorithmes et maintenant les imprimantes-3D remplacent de plus en plus de travaux humains.
Si on ne réagit pas, il y aura de plus en plus de chômage : l’économie a besoin de moins en moins de gens pour produire, du fait des gains de productivités qui s’accumulent.
Que peut-on faire quand l’économie a besoin de moins de travail ? Soit on accepte toujours plus de chômeurs, et c’est la catastrophe ; soit on accepte que toujours plus de gens ne travaillent qu’à temps partiel, et c’est une société de précarité ; soit on choisit une troisième voie : chacun travaille un peu moins, et il y a du travail pour tous. Aujourd’hui, nous ne sommes pas assez nombreux à travailler. C’est un drame humain, et ça nous coûte très cher.
Nouvelle Donne propose, au lieu de financer l’inactivité des chômeurs, d’utiliser cet argent pour que les entreprises puissent les embaucher sans surcoût. Le partage actuel du travail entre les désœuvrés et les surmenés est stupide et ne profite qu’aux actionnaires.
Il est urgent de négocier un nouveau partage du travail tout au long de la vie, un nouvel équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Cela permettra aussi de rééquilibrer les comptes sociaux, avec moins de prestations à verser et plus de personnes qui cotisent. Pour agir vite, Nouvelle Donne propose de s’appuyer sur les expériences déjà menées avec succès en France, au Danemark, au Canada ou en Allemagne.